Lyon Urban Trail : Tournicoti Tournicota !

Publié le par Oslo




Le premier Lyon Urban Trail va-il échapper aux gouttes de pluie ? Depuis vingt-quatre heures, il tombe des cordes sur le Rhône, et toute la nuit précédente, j’ai entendu le clapotis de la pluie sur les toits et les balcons.
6h réveil, petit-déjeuner classique… j’ai même le temps de bouquiner un peu puis c’est l’heure de partir. Le trajet n’est pas long, il est 7h05 lorsque j’arrive au parking souterrain du boulot, juste à deux pas du départ. Bon, le truc que j’avais oublié c’est que le principe d’un parking souterrain c’est d’être souterrain et donc plongé dans l’obscurité. Aussi pendant que je me prépare je suis plongé dans le noir à trois reprises, obligé d’aller rallumer la minuterie à tâtons. J’adopte pour une tenue courte, car les températures seront clémentes d’après la météo. D’après le dernier bulletin que j’ai vu sur le web le samedi soir, on devrait même échapper à la pluie mais ça j’y crois pas trop. J’adopte donc court en haut et en bas ainsi qu’une paire de manches RaidLight que je teste pour la première fois. Elles me tiennent bien chaud le temps de prendre le départ et ça n’a pas de prix.



Parc de la tête d’or 7h30 : je ne trouve pas les copains, il n’y a pas grand monde mais petit à petit ça arrive et les gens s’enquillent dans la file d’attente. Je finis par retrouver Arthur, Miaou, Taz déguisé en hippie et Yan42. On papote un peu mais déjà c’est l’heure de se présenter au départ. On salue Miaou qui part un peu plus tard pour le 20 km.
Et c’est parti avec le speaker qui nous annonce 6000 marches. Mais on va pas les compter. On commence par quelques kilomètres dans le parc de la tête d’or, idéal pour se mettre en jambes et s’échauffer avant d’affronter les 19 difficultés de la journée. À ce titre, il faut souligner le road book très chouette fourni par l’organisation au retrait des dossards. Un petit dépliant avec le plan des 2 parcours, 20 et 40 km, la liste et la localisation des 19 difficultés et la liste de 26 points remarquables de la ville que nous pourrons apercevoir ou emprunter. Bref, du bon boulot.
Nous sortons du parc de la tête d’or, traversons le pont Churchill et entamons la première montée de la journée, la montée de la boucle. La route est coupée en deux par des barrières : les voitures continuent de rouler à gauche et nous nous montons sur la partie droite de la route. Mais à cette heure-ci un dimanche matin de vacances scolaires, on va pas en voir beaucoup des voitures. Arthur, Taz, Yan42 et moi courons ensemble, on papote, on y va cool, ça me va bien et c’est chouette. On marche dans la côte qui dure 750m et arrivés en haut, on part direction Caluire pour une petite boucle avec redescente sur le Rhône et regrimpette sur la butte avec la montée des lilas qui dure 300m.



On prend le temps de papoter avec les autres concurrents, l’ambiance est sympa, tout le monde est ravi d’être là et en plus il semble qu’il ne va pas pleuvoir. Mais on n’a pas le temps de souffler non plus car déjà on arrive sur le troisième point délicat baptisé « les 3 enfants » avec une grimpette de 180m. Nous sommes en train de nous diriger vers la Croix Rousse mais on prend le temps de faire du tournicoti-tournicota et on redescend vers le Rhône encore une fois, pour le plaisir de prendre les fameux escaliers de la rue Joséphin Soulary. Ceux-là je les connais car je les prends matin et soir pour aller et pour revenir du boulot… La version complète fait 400 marches, mais là on coupe un peu pour ne faire que 200m d’escaliers. Pour l’instant tout va bien, on gère, on monte en marchant pour s’économiser, certains marche par marche, d’autres 2 par 2, et d’autres comme ils peuvent. Allez, un dernier coup de collier et on bascule sur le sommet. On recommence à courir pour s’engouffrer dans une nouvelle série de « je descends et je remonte » avec les 300 m de la montée Bonnafous.



Là y’a pas photo, on peut courir parce que la côte est douce… Et puis on aura le temps de marcher un peu plus tard. Pas très longtemps après d’ailleurs… Juste le temps de passer à proximité de Croix Paquet et de son célèbre arrêt métro en pente sèche sur crémaillère… Sauf que là on ne voit pas l’arrêt de métro, ni le jardin de Croix Paquet et ses vignes, on voit juste les superbes escaliers qui permettent de rejoindre la rue des Fantasques. 600m d’escaliers et de côte, derrière nous on voit Lyon et le ciel bouché.



Que tous les fans du manège enchanté se rassurent, nous voilà repartis pour une dose supplémentaire de tournicoti-tournicota ! J’ai beau connaître le terrain puisque c’est là que je m’entraîne régulièrement, ça fait plaisir d’y passer en course, avec des potes et dans l’ambiance du peloton… Surtout qu’on arrive dans un lieu superbe du coin, une traboule remarquable, la Cour des Voraces.



À partir de là, c’est plus cool puisqu’on descend régulièrement pour se rapprocher de l’hôtel de ville. J’en profite pour faire un peu le guide touristique et donner à Yan42 quelques indications sur les lieux qu’on visite, j’espère que je ne l’ai pas trop embêté mais sinon il me l’aurait dit. À moins que son camel fuyant ne l’ait empêché de me dire « oh ferme là deux minutes ! » ;))
Nous arrivons au pied de l’opéra et surprise, nous entrons dans l’hôtel de ville qu’on nous a ouvert, ça c’est chouette.



Nous traversons l’hôtel de ville et basculons de l’autre côté, c’est à dire sur la place des terreaux et ses 69 fontaines de Buren, ses 4 chevaux dans la fontaine (rassurez-vous, ce sont des statues, on n’a quand même pas jeté 4 chevaux dans la fontaine juste pour le plaisir). On traverse la place des terreaux, très calme à cette heure-là du dimanche matin, puis nous coupons la rue Sainte Catherine, haut lieu de la beuverie Lyonnaise, pour nous envoyer à nouveau quelques marches d’escaliers, et nous diriger vers la 7ème ascension de la journée, la Montée de la Grande Côte et ses 600 mètres.



Juste comme nous prenons notre rythme, un petit détour pour absorber de nouveaux escaliers et surtout profiter de longer l’amphithéâtre des Trois Gaules, lieu de prédilection des vieilles pierres et des chats qui s’y font dorer la pilule dès le retour du printemps. Pour l’instant c’est pas encore le printemps mais on n’est pas non plus en hiver. Pendant qu’à quelques kilomètres seulement de Lyon, certains retrouvent 1m d’eau dans leurs magasins, ici toujours pas de pluie. Ça fait un moment déjà que j’ai retiré les manches RaidLight et remises dans le sac à dos. Très bon produit qui m’a tenu chaud quand il fallait et qui se range facilement sans prendre de place. Je sens qu’elles vont me servir bien souvent !



Allez, pendant ce temps l’heure tourne et nous nous apprêtons à faire nos adieux à la colline de la Croix Rousse, où je joue à domicile… Une dernière grimpette avant de descendre jusqu’à la Saône… La montée de Vauzelles, 200 mètres avec un escalier de plus à se mettre sous les semelles.
Bon, on papote, on papote, Yan42 est trempé à cause de sa poche à eau qui fuie.
Et puis c’est l’heure du ravito ! Place Rouville, en redescendant vers la Saône avec un panorama superbe sur Fourvière vers laquelle nous allons nous diriger.



Au ravito, petit arrêt pas très long. Il me reste encore pas mal d’eau dans le camel alors je me contente d’un peu de chocolat pour la gourmandise, d’un peu de pain d’épices et puis surtout deux tucs que je glisse dans le filet du short. Allez, clic clac quelques photos de plus, une gorgée de coca avant de repartir et nous sommes déjà sur la Saône très haute avec les dernières pluies. D’ailleurs, les pauvres gars qui avaient décidé de se garer sur les quais la nuit de samedi vont le regretter amèrement…



La passerelle de l’homme de la Roche est un chouette passage pour passer de l’autre côté du fleuve. C’est aussi le moment de souffler un peu parce que des choses sérieuses nous attendent. Arthur qui lui va jouer à domicile sur Fourvière nous avertit que bon c’est bien beau la Croix Rousse mais que maintenant on va passer aux choses sérieuses…


Pour l’instant faut avouer qu’on a quand même bien géré notre effort, restant en dedans pour en garder sous le pied. Côté cardio, je suis étonné mais mon rythme reste calme, je me sens bien, les jambes répondent. Je prends un cachet de sporténine toutes les heures, plus en prévoyance que par réel besoin… L’ambiance est toujours excellente, nous sommes toujours tous les quatre et je prends beaucoup de plaisir. Il vaut mieux d’ailleurs parce que voilà que se profile déjà la 9ème difficulté de la journée, et pas des moindres. Montée de la sarra, 600m avec des escaliers maousse. Là c’est même pas la peine d’essayer de courir, tout le monde se met à la marche.



Bon, encore une fois, les organisateurs ont fait preuve d’originalité : après être montés, qu’est ce qu’ils nous ont réservé ? Une descente oui ! La piste de la sarra, que les VTTistes connaissent bien. Pour ma part c’est la première fois que je l’emprunte. Je manque de me vautrer lamentablement dès le début avec une glissade que n’aurait pas renié Candeloro et ses patins à glace. A l’image des camions sur l’autoroute je vise la voie de dégagement rouge et blanche avec du sable au fond… J’évite la chute et je descends calmement. Faut dire que c’est ma première sortie de plus de 2h depuis mes soucis de TFL au début de l’été et qui m’ont pourri la fin du Marvejols Mende. Et faut avouer que j’avais peur que ça coince. J’ai appris à me ménager dans les descentes du coup…



Vous connaissez le topo ? Après la descente de la sarra, ben on va remonter ! C’est ce qui est bien avec ce parcours… Pas besoin de l’avoir étudié avant, ça monte puis ça descend, puis ça monte puis ça descend… et on boucle… Et le pire c’est que c’est vraiment le pied ! Je bois un coup, mange encore un peu et c’est la grimpette suivante, la montée Nicolas de Lange et ses 350 mètres avec plus de 500 marches d’escalier.



Comme nous sommes un dimanche matin, de toussaint en plus, les plus pieux d’entre nous se seront recueillis au passage de la basilique Notre Dame de Fourvière. Depuis le temps qu’elle nous nargue depuis la Croix Rousse, cette fois on y est mais bon on y repassera dans quelques temps alors on ne fait pas les malins. On profite quand même du superbe décor autour de nous à l’intérieur du parc du Rosaire. Encore un endroit de Lyon que je n’ai connu que récemment, grâce à la course à pied et à mes séances matinales…



Il est maintenant temps de se payer un joli plongeon jusqu’au quartier touristique et gastronomique du vieux Lyon. Pour pas changer une recette qui marche, nous nous enfilons toute une série d’escaliers. Le soleil se joint même à la partie avec toujours cette vue très sympa sur les toits de Lyon en contrebas.



Avant la Montée du gourguillon, Taz s’arrête pour une pause technique. Non, pas pour faire pipi mais pour un échauffement / début d’ampoule sous son pied. Pas facile de courir dans de telles conditions. Surtout que le gars s’est quand même enfilé un semi avec un joli chrono à la clé 15 jours plus tôt. Nous l’attendons en grimpant doucement le Gourguillon, ça nous permet aussi de nous alimenter et de faire redescendre les puls.
Après la grimpette, nous traversons une oasis, un joli petit tapis de feuilles d’automne vraiment sympa. Ceux qui ne connaissent pas la ville ont dû être étonnés de trouver ça en plein Lyon.



Et la suite n’est pas mal non plus puisque les traceurs nous font arriver en plein sur les amphithéâtres de Fourvière. Un panorama vraiment superbe au milieu des vieilles pierres, avec un décor pareil, on ne pense même plus à la course. D’ailleurs je réalise que je ne fais pas trop attention aux kilomètres passés. Depuis le départ, je me régale tellement que je fais juste attention à mes pulsations pour réguler mon rythme et puis c’est tout. Courir dans de telles conditions c’est juste un maxi plaisir.




J’ai profité du 2ème ravito au pied de la basilique pour refaire le plein de la poche à eau et de prendre un second verre de coca et une moitié de banane. J’ai absorbé les 2 gels que j’avais emporté et la moitié d’une barre de céréales. Avec trois Tuc au milieu, aucun problème, mon estomac tient bien le coup, j’ai l’impression d’être parti il y a 10 bornes à peine et pourtant on en a fait plus de deux fois plus.

De retour sur la Saône, nous constatons que le temps de faire les cabris sur la colline de Fourvière, la décrue ne s’est pas amorcée. Et les infortunés automobilistes ne sont pas prêts de remonter dans leurs voitures.
A l’origine nous devions emprunter les berges et remonter jusqu’à Vaise et redescendre de l’autre côté. Mais ces inondations en ont décidé autrement, puisque les organisateurs ont coupé la partie aquatique. Ca tombe bien, j’ai beau m’être mis à la piscine depuis septembre, je suis pas encore bien au point…



La route s’élève comme nous avons traversé le pont Koenig pour regrimper sur la Croix Rousse. Au menu la Montée hoche, histoire de se payer une nouvelle tranche de grimpette parce que les organisateurs ont du avoir peur qu’on s’ennuie sur une trop longue portion plate… Ils sont gentils quand même, de vrais GO ! Dans une descente nous revenons sur certains concurrents du 20 km dont Miaou que nous saluons dans une joyeuse pagaille. Après 5 semaines sans course à pied à cause de son entorse, c'est un parcours difficile qu'elle a choisi... Mais bon, tout le monde a la banane et ça fait plaisir à voir. 


 
Bon alors, du single track en plein cœur de Lyon, qui a dit que ce n’était pas possible ? Moi le premier j’étais sceptique mais faut reconnaître que c’est vrai. Et y’en a même eu plusieurs ! Bon okay ça vaut pas un sentier escarpé à flanc de falaise dans les Gorges du Tarn ou en Corse mais bon pour une course en ville c’est quand même pas vilain. Enfin, bref, celui qui nous a amené au pied du parc de la roseraie était sympa.



Nous approchons de la fin. Bon il reste encore quelques kilomètres mais les plus grosses difficultés sont derrière nous. Il faut maintenant gérer la fin de la course. C’est le moment du troisième et dernier ravito. Je commence à sentir que ça fait un petit moment qu’on est parti mais tout se passe bien. Dans le dernier passage hors bitume, Arthur plante une belle accélération mais toujours prévoyant je reste calme dans la descente alors que d’habitude j’aime bien me lâcher. Mais bon, je suis en bons termes avec mon TFL depuis un moment, j’ai envie que ça continue.



Au troisième ravito, micro arrêt. Arthur ne s’attarde pas, ça tombe bien j’ai pas envie de m’arrêter non plus. Juste le temps de boire deux gorgées de coca et de manger un morceau de pain d’épices. Il me reste un barre de pâte d’amande, ça ira bien pour les 9 bornes qui restent. Devant nous, un joli mur, la dernière difficulté de la journée qui porte le numéro 19, la montée de l’église… Elle fait mal celle-là. Pour autant je me sens toujours bien dans ces grimpettes, j’ai un bon rythme et je suis étonné. Finalement je me rends compte que rien ne vaut d’arriver frais sur une course.



La dernière partie du parcours est un peu monotone mais c’est surtout que je ne sais pas trop par où nous allons revenir sur l’arrivée. Encore une fois je découvre une partie de Caluire et de Lyon que je ne connaissais pas. Nous sommes à présent de l’autre côté de la Cité Internationale. Il y a le Rhône à traverser sur un pont pas très sexy avec toutes les bagnoles qui passent. C’est le côté négatif de la course en ville mais franchement, quelques mètres sur 40 km c’est vraiment rien.



Le Pont Poincaré est notre dernière ligne droite. C’est le cas de le dire. Nous avons dépassé le panneau 42 km (40ème en réalité) et nous entendons le speaker qui fait l’animation depuis l’aire d’arrivée. Arthur hausse progressivement le rythme et nous remontons des concurrents que nous doublons. Yan42 est toujours avec nous. Mais devant Arthur se prépare à envoyer du lourd. Je sens qu’il nous réserve une de ces arrivées dont il a le secret. Je me cale dans ses chaussures et tente de suivre. C’est qu’il a de grandes canes le bougre ! Et une foulée diablement efficace. De mon côté c’est pas vraiment ça mais aujourd’hui les jambes répondent bien donc je le suis. Nous finissons au sprint, je ne pense même pas à essayer de le gratter et je crois pas que j’aurais pu. M’en fous, je me serais pas autant craché dans les mains tout seul, ça fait plaisir de cracher ses poumons comme ça. Mais j’aurais pas pu faire beaucoup plus à cette vitesse !

Voilà ! Nous avons terminé ce 1er Lyon Urban Trail et épargnés par la pluie en plus de ça ! 4h26 au chrono, je m’attendais pas à ce temps-là. Même en comptant les 2 bornes supplémentaires qui ont été retirées sur les quais de Saône, ça nous aurait fait moins de 5h et je pensais plutôt faire 5h30. Le temps de poser le sac et de boire un coup, Taz arrive. Finalement il a du bien s’accommoder de son souci d’ampoules car il a bien bastonné sur la fin.



Nous retrouvons la famille d’Arthur puis Yannick et Miaou qui nous parlent de leurs 20 kilomètres respectifs, là aussi tout le monde semble bien content, même si Yannick regrette de pas avoir fait le 40. Ce sera pour l’an prochain !



Cette phase de récupération à l’arrivée fait du bien. On prend le temps de papoter et de revêtir les maillots offerts pour pas choper froid. Faut dire qu’après s’être arrêté de courir, il y a un petit air frisquet qui nous enveloppe, et la fatigue aidant, faut faire gaffe…



Le temps de manger le contenu du panier-repas puis d’attendre Arthur, Yan42 et Taz qui se font masser par les ostéos disponibles pour remettre en place toutes ces belles mécaniques.
De mon côté je passe mon tour pour l’ostéo mais la prochaine fois je pense que je me laisserai tenter…
Mes jambes n’ont pas trop dégusté, elles m’ont fidèlement porté tout au long de ces 40 kms que je n’ai pas vu passer, grâce à tous mes copains. Une très chouette sortie longue variée et plaisante à souhait, super bien organisée, avec ce qu’il fallait de panneaux indicateurs et de préposés au fléchage.



Je signe tout de suite pour la 2ème édition mais avec quelques aménagements :
- un grand et beau soleil
- un peu plus de D+ parce que là on a failli s’ennuyer ;))
- une mousse au chocolat dans le panier repas de l’arrivée
- une autre date parce qu’en 2009 j’espère être au départ des Templiers fin octobre… Alors pas de LUT début novembre.

Un grand merci à Arthur, Yan42 et Taz pour ce moment de partage et de grand plaisir.
Heureux d’avoir fait la connaissance de Miaou et de Yannick, en attendant de vous revoir sur la prochaine course (SaintéLyon à priori…)

Voilà, maintenant c’est repos. Une séance de piscine mardi pour pas traumatiser la machine. A J+1 je suis assez étonné de me sentir aussi bien. Je me suis repayé une tranche d’escalier pour aller au boulot à pied. Tout semble aller bien. Je vais quand même prendre une semaine sans toucher aux baskets. Ensuite, il sera temps de se remettre au boulot pour finir la prépa pour la Sainté Lyon. Mais globalement je suis rassuré après ce LUT. Je me sens en forme, le genou a tenu de façon impeccable. Je crois que je ne vais pas faire beaucoup de volume d’ici la Sainté Lyon, juste deux sorties longues mais pas plus et surtout couper 10 jours avant comme je l’ai fais pour le LUT. Mais d’ici là, une semaine de grasse matinée sans aucun réveil avant 7h, le pied ;))

Publié dans Compte Rendu de course

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G
Merci pour cette visite touristico-sportive. Cela donne vraiment envie de faire un petit tour par chez vous. Je me laisserai bien tenté pour la version 2009.<br /> Et pour les Citadelles: venez nous rendre visite. Grumlie "citadelles addict"
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A
Je serai bien tenté aussi ...
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Y
Les Citadelles j'irai bien en 2010 ! Alors avis aux amateurs lyonnais, si on peut se regrouper .....
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O
@Hervé : pour la date, 8/11/2009 apparemment pour la prochaine édition.<br /> @Michel : t'en fais pas, y'a pas photo entre les Citadelles et un LUT. Un trail en ville ouais sympa mais ça vaudra jamais un "vrai trail" pour moi. Pour les Citadelles, ça risque de faire court pour moi en 2009, avec un ultra début mai, dommage, je serais bien venu te rendre visite... Partie remise ! :)
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M
Salut,<br /> J avoue que j étais sceptique quant au concept de trail en ville, mais finalement ça semble donner une très belle balade passant par de jolis coins. Maintenant le LUT en Avril, pas d accord, la date est prise par les Citadelles ;-)
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